Cas clinique

Gynécomastie iatrogène : une nouvelle molécule à ajouter à la liste ?

La gynécomastie est une affection fréquente chez l'homme aux différents âges de la vie. Une des principales étiologies est iatrogène (6 à 27 % des cas selon les séries), et les molécules le plus souvent impliquées sont la spironolactone, les antiandrogènes (acétate de cyprotérone), les trithérapies contre le VIH, la cimétidine, les chimiothérapies à toxicité testiculaire (agents alkylants), la rifampicine, la digoxine, l'amiodarone, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine ou encore les psychotropes (1-3). De nombreux autres médicaments sont listés comme potentiellement…

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Liens d'intérêt

E. Deberles déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.

Les autres auteurs n’ont pas précisé leurs éventuels liens d’intérêts.