Dossier

Une nouvelle forme d’adénomes hypophysaires familiaux : les FIPA – Détection et prise en charge

»» Considérant la prévalence de 1 cas sur 1 064 habitants, soit 4 à 5 fois ce qui était jusque-là décrit, les adénomes hypophysaires sont actuellement reconnus comme une pathologie assez commune, susceptible de remettre en question les moyens nécessaires à son diagnostic, son traitement et son suivi. »» Les adénomes hypophysaires présents dans le cadre d’un FIPA surviennent en général plus précocement et sont plus agressifs que les adénomes sporadiques. »» Dans 15 % des cas, le FIPA est dû à une mutation du gène AIP. »» Les adénomes mutés pour le gène AIP sont plus agressifs et plus difficiles…

L’accès à la totalité de l’article est protégé