Cas clinique

Grand Prix 2016 Onco-Théranostic - 2e lauréat - Un clone bien camouflé !

Les nouvelles recommandations du Congrès américain d'oncologie clinique et du Groupe d'étude des facteurs pronostiques immunohistochimiques dans le cancer du sein (GEFPICS) [1] font apparaître des cas équivoques pour HER2, dont le devenir clinique reste mal connu et la prise en charge problématique.


Une patiente de 54 ans présente en 2012 un nodule palpable ACR5 , correspondant à un carcinome infiltrant sans type spécifique de grade III, exprimant les récepteurs estrogéniques et les récepteurs à la progestérone , de 18 mm, avec emboles tumoraux, sans métastase ganglionnaire. Le score HER2 est de 2+ (figure 1) . La fluorescent in situ hybridization (FISH) est négative, avec, en moyenne 3,44 copies du gène HER2 par noyau, mais signale la présence d'un contingent minoritaire (12 %) à 5-6 copies du gène par noyau. La patiente a reçu une chimiothérapie, une radiothérapie et une hormonothérapie.

L’accès à la totalité de l’article est protégé




Liens d'intérêt

C. Bénière et B. Verret déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.