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Enurésie : ne pas renoncer…

La Journée mondiale de l'énurésie a été l'occasion de faire le point sur un symptôme encore trop souvent caché ou minimisé et dont la prise en charge longue et parfois jalonnée d'échecs décourage l'enfant, ses parents, voire le médecin… Une meilleure connaissance de sa physiopathologie, avec en particulier la nécessité d'en déterminer les critères primaires ou secondaires, isolés ou associés, permet de proposer une stratégie thérapeutique adaptée.


Le dialogue direct avec l'enfant est la première étape indispensable pour analyser le symptôme et ses conséquences dans la vie quotidienne et pour apprécier la motivation du patient. En parler, c'est déjà s'occuper de l'enfant, rappellent le Dr Brigitte LLanas (Bordeaux) et le Dr Christophe Philippe (Saint-Malo). Il faut prendre le temps de laisser l'enfant s'exprimer, lui expliquer que l'énurésie n'est pas une maladie, mais un symptôme qui concerne de nombreux enfants : 15 % des plus de cinq ans, 10 % après huit ans, soit plus de 400000 enfants en France. Avec à l'appui un chiffre concret pour…

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