Dossier

Mutations d’AIP et prédisposition aux adénomes hypophysaires : aspects cliniques et physiopathologiques

» Des mutations du gène AIP (Aryl hydrocarbon receptor Interacting Protein) sont retrouvées dans 20,4 % des adénomes hypophysaires familiaux isolés et environ 3 % des adénomes hypophysaires sporadiques. » En dehors du contexte familial, un âge jeune au diagnostic ou un acromégalogigantisme doivent faire rechercher une mutation d’AIP. » Les sujets mutés pour AIP partagent d’autres caractéristiques communes, telles que la prédominance de macroadénomes, souvent invasifs et pouvant résister aux traitements médicamenteux (analogues de la somatostatine, agonistes dopaminergiques). » Le gène AIP est…

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