Revue de presse

Le PSA, un “nouveau” marqueur diagnostique du syndrome des ovaires polykystiques ?

L'équipe de Bicêtre a récemment montré que le dogme reliant hyperprolactinémie et SOPK (syndrome des ovaires polykystiques) avait vécu, dès lors que les hyperprolactinémies modérées sont correctement explorées (second dosage, recherche d'une macro­prolactinémie ± IRM hypophysaire) (1).Page aussitôt tournée (ou presque), un nouveau critère diagnostique est mis sur le devant de la scène : le PSA. Cette protéase n'est pas spécifique au sexe masculin et à sa prostate, on la trouve également dans des tissus féminins (ovaire, endomètre, sein) et dans certains fluides biologiques (lait, liquide amniotique).…

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N. Chevalier déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.