Dossier

Lymphoproliférations après transplantation

»» Les lymphoproliférations post-transplantation (LPT) représentent une entité bien authentifiée pour l’OMS ; il s’agit du premier cancer chez les greffés. Le virus d’Epstein-Barr (EBV) est clairement impliqué dans la physiopathologie, mais les PLT EBV négatives sont de plus en plus fréquentes. La prise en charge est d’abord préemptive, en traitant les réactivations EBV. Lorsque la LPT est diagnostiquée, la baisse de l’immunosuppression est consensuelle. Le traitement proposé par le groupe européen comporte du rituximab puis, selon la réponse, soit du R-CHOP, soit du rituximab en monothérapie.

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