Un second temps pour préserver la fertilité après la maladie chez la femme ?
Une information sur les risques d'infertilité future et les techniques de préservation de la fertilité fait désormais partie du parcours de soins de toute patiente à la veille d'un traitement potentiellement gonadotoxique. Malgré le développement de nombreux centres d'onco-fertilité, idéalement répartis sur le territoire français, il reste difficile dans certains cas d'accéder aux procédures mises en place du fait du caractère urgent du traitement oncologique ou de contre-indications médicales à la stimulation ovarienne ou à la cœlioscopie pour ovariectomie. Cet article s'attache à détailler les arguments en faveur d'un deuxième temps de préservation de la fertilité, à distance de la maladie.
Liens d'interêts
C. Decanter déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.
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