Les carcinomes rénaux représentent 2 % de l'ensemble des cancers et se placent au 7e et 10e rang des cancers incidents chez l'homme et la femme. Chaque année, dans le monde, environ 400 000 nouveaux cas et 175 000 décès sont dénombrés [1]. Jusque dans les années 2000, la prise en charge des mccRCC reposait sur les traitements cytokiniques : interleukine 2 (IL-2) et interféron α (IFN). Ces traitements offraient des taux de réponse modestes (inférieurs à 20 % ) et une survie globale (SG) médiane de l'ordre de 1 an, et ce au prix d'effets indésirables sévères [2]. Une meilleure compréhension biologique…
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iciLiens d'intérêt
Y. Vano déclare avoir des liens d’intérêts avec BMS, Pfizer, MSD, Merck, Novartis, Ipsen, Roche, Astellas, Sanofi, Janssen (honoraires pour expertise).
M. Haberstich, A. Simonaggio et J. Noël déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
S. Oudard déclare avoir des liens d’intérêts avec Bayer, Pfizer, BMS, MDS, Sanofi, Astellas, Janssen, Novartis, Roche (honoraires pour expertise).