Depuis sa découverte en 1985, l'oncogène RET pour REarranged during Transfection [1] a surtout intéressé le monde de l'endocrinologie oncologique compte tenu de son implication dans la tumorigenèse thyroïdienne avec la mise en évidence d'anomalies moléculaires activatrices de RET dans les cancers thyroïdiens d'origine folliculaire, sous forme de fusions [2], et dans les cancers médullaires de la thyroïde (CMT) ou dans syndromes néoplasiques multiples de type 2, sous forme de mutations activatrices [3, 4]. Par la suite, la découverte en 2012 de transcrits de fusion impliquant…
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iciLiens d'intérêt
L. Lacroix déclare avoir des liens d’intérêts avec : Abbott, AstraZeneca, Bayer, Beckman, Boeringer, BMS, Illumina, Genomic Health, Lilly, Myriad, Novartis, Pfizer, Roche, Siemens, Thermofisher, VelaDx (participation à des réunions d’experts, présentations, hospitalités).
D. Vasseur et E. Rouleau déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.