Les inhibiteurs de PARP ont été approuvés dans les cancers de l'ovaire et du sein chez des patientes mutées BRCA1/2 [1, 2]. Ils se sont aussi montrés actifs chez les hommes atteints d'un cancer de la prostate résistant à la castration métastatique (CPRCm) et porteurs d'une mutation de BRCA. Les altérations génomiques au niveau de gènes DDR (DNA damage repair) autres que BRCA pourraient conférer une létalité synthétique avec des anti-PARP dans les CPRCm [3].L'étude de phase II internationale TRITON2 (144 centres, 12 pays) a inclus des patients dont la maladie avait progressé après 1 ou 2 lignes…
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