Éditorial

Le prélèvement d’organe chez les donneurs décédés après arrêt circulatoire : est-ce une bonne voie pour augmenter le nombre de transplantations ?

Augmenter le nombre de donneurs d’organes pour répondre à la demande croissante des patients en attente de transplantation reste un défi pour notre société. Pour cela, les modifications apportées à la loi de bioéthique en 2011 élargissent le cadre des donneurs vivants avec, en plus de la famille et du conjoint, la possibilité de don entre personnes ayant un lien affectif étroit, stable et avéré depuis au moins deux années. Les transplantations rénales ABO incompatibles et, encore marginales car débutantes, les transplantations à partir de dons…

L’accès à la totalité de l’article est protégé