Dossier

Résultats et complications à long terme de la transplantation hépatique chez l’adulte

» Les anticalcineurines ont permis un bon contrôle du risque de rejet aigu et chronique après transplantation hépatique et une amélioration spectaculaire des résultats. La mortalité opératoire est inférieure à 10 %. En revanche, les traitements immunosuppresseurs sont responsables d’une morbidité importante à long terme, qui diminue la survie : complications infectieuses, métaboliques, tumorales et toxicité rénale. Les décès pour cause hépatique représentent environ 25 % des cas. Alors que le risque de récidive virale B est bien contrôlé par la prophylaxie, la récidive virale C reste un problème…

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