Dossier

Trafic d’organes : le point de vue des institutions

» En 2011, près de 113 000 organes ont été transplantés dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cela ne couvre que 10 % des besoins des patients. La pénurie créée par une demande en augmentation et un nombre d’organes disponibles insuffisant est à l’origine de trafics où vendeurs et receveurs d’organes sont exposés à des risques sanitaires et économiques. » En France, l’Agence de la biomédecine, qui a succédé en 2005 à l’Établissement français des greffes, créé en 1994 par les lois de bioéthique, est une agence publique chargée de la supervision des activités de transplantation.…

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