Dossier

Vers la criminalisation du commerce des organes associée à la lutte contre la pauvreté

» L’inadéquation profonde entre le nombre des organes disponibles et celui des patients en attente d’une transplantation fait le lit d’un trafic d’organes qui se développe mondialement. La communauté internationale s’était pourtant opposée officiellement en 2008 à toute forme de commerce des organes par la déclaration d’Istanbul, qui proposait des pistes destinées à favoriser le développement de la transplantation. Cinq ans après la publication de ce texte, le trafic persiste, et le débat international sur le commerce des organes se réorganise autour de la possibilité d’un commerce régulé, comme…

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