Actualités en onco-urologie
Barcelone, 27 septembre - 1er octobre 2019
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Olaparib : nouveau standard pour la prise en charge du CPRCm avec mutation des gènes de réparation de l’ADN
Après la présentation en poster discussion (de Bono et al.) de la prévalence des mutations des gènes de réparation de l’ADN (HDR+), M. Hussain a livré en session présidentielle les résultats de l’olaparib versus une nouvelle hormonothérapie, enzalutamide ou abiratérone (ATRA) chez les patients atteints d’un CPRCm HDR+. Il s’agit de la première étude de phase III de médecine personnalisée dans le CPRCm !
Bien que la mise en évidence des anomalies génétiques soit difficile dans ce type de tumeur, il faut insister pour dépister ces mutations chez nos patients car le bénéfice de l’inhibiteur de PARP est net !
L’olaparib a démontré un gain significatif en survie sans progression radiologique dans cette population HDR+, essentiellement chez les patients BRCA2 muté, le bénéfice étant moindre pour les patients présentant une mutation de BRCA1 ou ATM.
