Édition virtuelle, 16-21 septembre 2021
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Le RNA-seq au secours de plusieurs études pour les cancers triple-positifs
Pour les carcinomes RE+ avec surexpression de HER2, 3 études cliniques ont permis de tester des biomarqueurs d’intérêt, les lymphocytes infiltrant la tumeur (TILs), l’expression de CD8, les mutations de PIK3CA et les signatures génomiques reliées à l’immunité. Ces essais évaluaient des associations d’hormonothérapie et de traitements anti-HER2 (CALGB40601, PAMELA et WSG-ADAPT-TP).
Il apparaît que dans les 2 premières études, les signatures génomiques étaient corrélées à la présence des TILs, et que les signatures génomiques et les TILs étaient associés à un meilleur taux de réponse complète histologique (pCR). Il semblait même qu’une signature à 10 gènes permettait de mieux prédire la pCR que la présence des TILs.
Dans l’étude allemande WSG-ADAPT-TP, c’était l’expression de PD-L1 et de CD8 qui était associée à un meilleur taux de pCR. Le pouvoir prédictif des TILs est moins clair dans cette étude. Les mutations de PIK3CA (16 % de la cohorte) étaient plutôt associées à la résistance au traitement.
Mais tout cela reste très exploratoire.
