Contexte La supériorité du pembrolizumab sur l'ipilimumab avait été clairement démontrée dans l'étude KEYNOTE-006, avec une survie à 3 ans de 50 % versus 39 % pour l'ipilimumab (1). Dans la vraie vie, des questions restent néanmoins sans réponse : quelle est la durée optimale de traitement ? Que se passe-t-il lorsque l'on arrête l'anti-PD1 ? Les données à 4 ans de cette étude, ainsi que le devenir des patients à l'arrêt du pembrolizumab administré pendant 2 ans, ont été présentées en communication orale au congrès américain d'oncologie 2018. Méthode En tout 834 patients…
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iciLiens d'intérêt
L’auteur déclare avoir des liens d’intérêts avec BMS, ROCHE (consultante) ; BMS, ROCHE, GSK/Novartis, MSD (frais de déplacement/congrès) ; BMS, ROCHE-Genentech, GSK, Amgen, GSK/Novartis, MSD, Merck-Serono, AstraZeneca (essais cliniques).