Dossier

Cancers gynécologiques

  • L'association inhibiteur de PARP + antiangiogénique dans les cancers de l'ovaire : futur standard ?
  • L'olaparib fait mieux qu'une monochimiothérapie dans l'étude SOLO3.
  • L'immunothérapie est particulièrement efficace dans les cancers de l'endomètre présentant une déficience dans la réparation des mésappariements.
  • Est-ce le moment de ranger le bistouri dans les cancers du col ?

Période faste pour l'oncogynécologie : même si aucune étude présentée cette année à l'ASCO ne changera vraiment les pratiques, le futur se dessine, pour les cancers de l'endomètre, avec l'immunothérapie et, pour les cancers de l'ovaire, avec la combinaison PARP + antiangiogénique. Les cancers de l'ovaireInhibiteurs de PARPÉtude AVANOVA-2 (Mirza M et al., abstr. 5505)Dans cette étude de phase II randomisée, 97 patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire de haut grade séreux ou endométrioïde ont été incluses. Les patientes recevaient soit du niraparib seul (300 mg/j), soit du niraparib (300 mg/j) + bévacizumab (15 mg/kg).…

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Liens d'intérêt

T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Roche, Tesaro, Clovis Oncology, Pfizer, MSD, Novartis et GammaMabs.

J.Y Pierga déclare avoir des liens d’intérêts avec Roche, Novartis, AstraZeneca, Genomic Health, Puma, Amgen et Ipsen.

O. Tredan déclare avoir des liens d’intérêts avec Roche, Pfizer, Novartis, Lilly, AstraZeneca, Pfizer, Lilly, BMS et MSD.