Cancers gynécologiques
- L'immunothérapie devrait faire partie de l'arsenal thérapeutique dans les cancers de l'utérus (col et endomètre) dans les prochaines années, alors qu'elle peine à trouver sa place dans les cancers de l'ovaire.
- Les inhibiteurs de PARP tiennent leurs promesses en 1re ligne dans les cancers de l'ovaire : faudra-t-il les associer systématiquement avec le bévacizumab et/ou un traitement d'immunothérapie ?
- La place de l'hormonothérapie dans les cancers de l'endomètre avancés va-t-elle se renforcer grâce à des combinaisons avec les inhibiteurs de CDK4/6 ?
Liens d'interêts
T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Clovis Oncology, GSK Tesaro, MSD, Novartis, Pfizer et Roche.
C. Lefeuvre déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Roche, Pfizer, Novartis et Pierre Fabre.
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Figure 1. Étude IMagyn050 : survie sans progression en intention de traiter et dans la population PD-L1+ avec l’atézolizumab.

Figure 2. Étude IMagyn050 : survie sans progression avec l’atézolizumab en cas d’expression PD-L1 ≥ 5 %.

Figure 3. Survie sans progression et contrôle de la maladie avec l’association létrozole + palbociclib dans les carcinomes endométrioïdes de l’endomètre avancés.

Figure 4. Modifications des lésions cibles avec le tisotumab védotine dans les cancers du col avancés.
