Dossier

Cancers gynécologiques

  • Une amélioration de la survie globale par l'olaparib en 1re ligne de traitement a été observée dans les cancers de l'ovaire avec mutation BRCA et/ou instabilité génomique secondaire à une anomalie de la réparation par recombinaison homologue.
  • L'immunothérapie anti-PD-L1 dans les cancers de l'ovaire  à nouveau mise en échec avec une étude négative en rechute, sensible au platine.
  • L'actualisation des études de phase III confirme le bénéfice de l'immunothérapie dans les cancers de l'endomètre et du col de l'utérus avancés. Un accès précoce est ouvert en France.

Dans les cancers de l'ovaire, l'olaparib en 1re ligne de traitement améliore la survie globale (SG) pour les cancers avec mutation BRCA et/ou déficit de la réparation par recombinaison homologue (HRD). Pour les cancers du col et de l'endomètre avancés, l'immunothérapie confirme son bénéfice en SG dans les phases III. Un accès précoce est ouvert à l'association lenvatinib + pembrolizumab pour les cancers de l'endomètre et à l'association pembrolizumab avec chimiothérapie et bévacizumab pour les cancers du col en 1re ligne. Espérons également pour les patientes en 2e ligne et plus que le cemiplimab…

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Liens d'intérêt

T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec Roche, MSD, Clovis Oncology, GSK, AstraZeneca, Daiichi, Gilead, Sanofi et Seagen.

C. Lefeuvre déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.