Les inhibiteurs de PARP (poly-ADP ribose polymérase) font maintenant partie de l'arsenal thérapeutique dans la prise en charge des cancers de l'ovaire et du sein. Cinq inhibiteurs de PARP (iPARP) ont été développés : olaparib, niraparib, rucaparib, talazoparib et véliparib.Le profil de tolérance de ces molécules est important à connaître pour un suivi optimal, permettant une bonne observance, pour ne pas obérer leur efficacité. Il apparaît que la toxicité des différents iPARP est variable et très corrélée à l'activité de séquestration de PARP (PARP trapping). Par ordre décroissant d'activité…
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iciLiens d'intérêt
H. Bourien déclare ne pas avoir de liens d’intérêts.
L. Muzellec n’a pas précisé ses éventuels liens d’intérêts.
V. Diéras déclare avoir des liens d’intérêts avec Roche/Genentech, Novartis, Pfizer, Lilly, Tesaro, Eisai, Nektar, Astellas, MSD, Daiichi Sankyo, Odonate, Seattle Genetics, AstraZeneca et AbbVie.