Dossier

Sessions de chirurgie

  • Les gels antiadhérentiels doivent être largement utilisés pour éviter les synéchies postopératoires.
  • Les malformations utérines doivent être explorées préférentiellement par l'échographie 3D.
  • La chirurgie ne doit pas être proposée en première intention dans la prise en charge du prolapsus.
  • Le traitement chirurgical de l'incontinence urinaire se justifie lorsque la gêne occasionnée est importante.
  • En cas de tumeur germinale de l'ovaire, un traitement conservateur pourra être proposé.

Synéchies : les prévenir, les traiterD'après la communication de J.L. Benifla (Paris)Les synéchies désignent des adhérences partielles ou totales des parois utérines entre elles, en lien avec toute chirurgie endo-utérine pouvant léser la cavité utérine (aspiration endo-utérine : 20 %, capitonnages utérins : 20 %, myomectomie unique : 6 % ou myomectomies multiples : 38 % par hystéros­copie, ou par laparotomie : 20 %). En cas de cure hystéroscopique de synéchies, celles-ci peuvent récidiver dans 15 à 46 % des cas. La diminution de la prévalence des synéchies passe par des moyens de prévention primaire en ­limitant…

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Liens d'intérêt

Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.