Dossier
Faut-il prescrire des biosimilaires à  tous nos patients atteints de MICI ?
- Mis en ligne le
- 31 août 2017
- Auteur
- Les biosimilaires contribuent à faire baisser le prix des biothérapies.
- Le CT-P13 est le premier biosimilaire de l'infliximab disponible pour traiter les MICI ; son efficacité et sa tolérance sont comparables à celles de l'infliximab princeps.
- De nouveaux biosimilaires seront prochainement disponibles pour traiter les MICI.
- L'interchangeabilité entre princeps et biosimilaires et entre biosimilaires est possible.
- Nos critères de choix de biothérapies devront intégrer leur coût, sous réserve d'un rapport efficacité/tolérance comparable.
Les biothérapies ont révolutionné la prise en charge des maladies inflammatoires chroniques en termes d'efficacité, mais leur coût élevé représente un obstacle non négligeable. Cependant, l'expiration des brevets des premiers bioÂmédicaments a ouvert la voie aux biosimilaires, dont l'arrivée concurrentielle contribue à faire baisser le prix des biothérapies. Selon l'Agence nationale du médicament (ANSM), “un médicament biosimilaire est similaire à un médicament biologique de référence qui a déjà été autorisé en Europe. Le principe de biosimilarité s'applique à tout médicament biologique dont le…
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Liens d'intérêt
L’auteur déclare avoir des liens d’intérêts avec Pfizer, Hospira, AbbVie, Takeda et Vifor.