Dossier

Le syndrome de l’intestin irritable à l’heure des critères de Rome II

Points forts La prévalence du syndrome de l’intestin irritable dans la population générale est plus faible si on applique les critères de Rome II (8 %) que si l’on applique les anciens critères de Manning (15 %). Il existe un chevauchement entre syndrome de l’intestin irritable et dyspepsie. Les critères de Rome II ne prennent pas en compte les nombreux symptômes extradigestifs (céphalées, troubles urinaires, fibromyalgie). Les troubles de la motricité sont inconstants mais probablement à l’origine du mauvais transit des gaz intestinaux. L’hypersensibilité colique se voit surtout dans les formes…

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