Vie professionnelle

Éloge de Jean Lapresle, Société médicale des hôpitaux de Paris, 4 mai 2001

Le 2 décembre dernier, Jean Lapresle nous quittait ; 3 mois plus tard, jour pour jour, les deux bouddhas géants de Bamiyan étaient détruits par les talibans. Ce crime, d’une insensée barbarie, eût particulièrement révolté Jean Lapresle, lui qui aimait tant les hauts lieux du bouddhisme et dont l’éclectisme était tel qu’il pouvait tout à la fois : admirer les messages de tolérance et de maîtrise de soi du Bouddha ; connaître assez l’Islam pour savoir que celui-ci n’offrait aucun fondement à un tel acte de vandalisme ; et s’extasier devant ce qu’il considérait comme l’un des plus beaux textes jamais…

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