Dossier

Apports de la ribavirine dans le traitement de l’hépatite virale C chronique

RÉSUMÉ. L’interféron à la dose de trois millions d’unités, trois fois par semaine, pendant douze mois ne permet de faire disparaître durablement la réplication virale C que chez 15 % des malades traités. La ribavirine est un analogue nucléosidique de synthèse qui est actif in vitro sur de nombreux virus à ADN et à ARN. Son utilisation en monothérapie dans l’hépatite virale C est décevante puisqu’elle ne permet pas de négativer l’ARN viral C. En revanche, en association à l’interféron, elle améliore considérablement les résultats chez les malades n’ayant jamais été traités ou ayant rechuté après…

L’accès à la totalité de l’article est protégé