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Coqueluche et altitude


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Les parents d’un nourrisson atteint de coqueluche ont posé à Eric Lazard cette question pour beaucoup inattendue : « Est-ce qu’un vol de 50 mn à une altitude de 3000-3500 m apaiserait les quintes ? ». A défaut d’emprunter un aéroplane, les parents se proposaient de prendre le téléphérique de l’Aiguille du Midi, qui monte à 3800 m.
François Vié Le Sage nous apprend que son beau-père, vers 1950, effectuait de tels vols. René Mettey cite la revue Le Pédiatre, dans laquelle ce sujet a été abordé en 1985. Il s’agissait d’une étude auprès de 143 aéro clubs où furent analysés les résultats de 1952 « vols coqueluche » réalisés par 742 pilotes.