Pr Nicolas DE ROUX
Médecin
Biologie médicale
Inserm U1141, hôpital Robert-Debré, Paris
France

Laboratoire de biochimie-hormonologie, Inserm U1141, équipe “Génétique et physiologie de l’initiation de la puberté”, hôpital Robert-Debré, Paris
Contributions
Génétique humaine ou modèles in vivo chez la souris : de petits pas pour comprendre le lien hormones-cerveau
Les études de recherche clinique restent rares en neuroendocrinologie. Mais cette session de communications orales a été riche en résultats intéressants concernant la recherche en génétique humaine centrée sur les maladies du timing de...
Publié le : 23 septembre 2019
Paru dans : ESPE 2019 / Ejournal / En direct de l'ESPE
La génétique moléculaire révèle la complexité des anomalies de la différenciation des organes génitaux
Depuis le développement du séquencage de nouvelle génération, le catalogue des gènes et des variants décrits chez les patients ayant une variation des organes génitaux augmente régulièrement. Les laboratoires de génétique moléculaire...
Publié le : 20 septembre 2019
Paru dans : ESPE 2019 / Ejournal / En direct de l'ESPE
Les 2 prix Henning Andersen récompensent le développement de nouveaux modèles pour comprendre la physiopathologie du diabète de type 1 et du DSD
Les prix Henning Andersen récompensent les 2 abstracts qui ont été les mieux notés par les reviewers. Le 1er prix récompense une jeune équipe belge qui a développé un modèle de maîtrise de la perte des cellules β du pancréas observée...
Publié le : 20 septembre 2019
Paru dans : ESPE 2019 / Ejournal / En direct de l'ESPE
Le test kisspeptine va-t-il remplacer le test à la GnRH dans l’évaluation du déficit gonadotrope ?
L’exploration biologique du déficit gonadotrope comprend pour certains un test de stimulation de la sécrétion des gonadophines par l’administration de GnRH. Ce test renseigne sur la dynamique de la réponse des cellules gonadotropes et...
Publié le : 27 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
Un peu de kisspeptine pour activer les neurones GnRH à l’unisson chez la souris
L’un des mystères du contrôle neuroendocrinien de l’axe gonadotrope est la compréhension du mécanisme qui coordonne l’activation pulsatile des neurones GnRH, lesquels sont largement répartis sur l’axe rostro-caudal de l’hypothalamus....
Publié le : 27 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
Les retardeurs de flamme polybromés : une bombe sanitaire à retardement
Suite à un incident industriel majeur survenu en 1973, plusieurs millions d’habitants du Michigan (États-Unis) ont été exposés à des composés polybromés (PBB), dont la toxicité était bien connue. Les individus intoxiqués ont développé...
Publié le : 27 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
Les ovaires polykystiques : cause ou conséquence de l’hyperaction de l’axe gonadotrope ?
L’hyperactivation de l’axe gonadotrope, notamment la fréquence élevée des pics de LH chez la femme avec ovaires polykystiques (OPK), reste pour l’instant inexpliquée. Bien que les résultats présentés dans le symposium “Neuroendocrine...
Publié le : 26 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
Le retard constitutionnel de croissance et pubertaire (RCPP) : une maladie génétique complexe différente de l’hypogonadisme hypogonadotrope congénital
Le retard pubertaire associé à un retard de croissance (RCPP) est une pathologie souvent familiale, avec transmission préférentiellement dominante. Des mutations perte de fonction ont été décrites dans le gène IGSF10. C’est le seul gène...
Publié le : 26 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
Rôle de l’alpha-MSH sur les neurones à kisspeptine : lien entre homéostasie énergétique et contrôle de la fonction de reproduction ?
Le lien entre les réseaux neuronaux hypothalamiques régulant d’une part l’homéostasie énergétique et, d’autre part, l’axe gonadotrope fait l’objet de nombreux travaux depuis plusieurs années. Le contrôle de l’homéostasie énergétique...
Publié le : 25 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
La face cachée du génome se révèle chaque jour un peu plus
Le principal objectif de cette première séance plénière était de montrer que l’on commence seulement à mieux comprendre la fonction du génome qui ne code pas pour des protéines, soit environ 98 %. Francis S. Collins, directeur du...
Publié le : 25 mars 2019
Paru dans : PIT-ENDO 2019 / Ejournal / En direct de PIT-ENDO 2019
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