Dossier

Cancers gynécologiques

  • Confirmation en phase III de l'efficacité du niraparib et de l'olaparib, des inhibiteurs de PARP, en traitement d'entretien après chimiothérapie pour un cancer de l'ovaire en rechute platinosensible avec mutation BRCA.
  • Les inhibiteurs de PARP dans les cancers de l'ovaire sont aussi efficaces chez des patientes dont les tumeurs ne sont pas mutées BRCA, mais il n'existe pas encore de moyen simple de les identifier.
  • Allons-nous vers la fin de la chimiothérapie intrapéritonéale ?
  • Promesse de l'immunothérapie dans les cancers du col et de l'endomètre.
  • Le déremboursement du bévacizumab dans les cancers du col avancés annonce-t-il un déclassement de la cancérologie française ?

L'année 2016 a été marquée par la confirmation formelle des résultats des inhibiteurs de PARP dans les cancers de l'ovaire en rechute, avec l'essai NOVA testant le niraparib (1) et l'essai SOLO-2 testant l'olaparib (2).Cancers de l'ovaireInhibiteurs de PARPÀ la suite de la démonstration d'une efficacité clinique dans une étude de phase II (Étude 19), l'olaparib a obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) chez les patientes dont la tumeur est mutée pour BRCA (3). Notons cependant que, dans cette étude, un bénéfice avec l'olaparib était également observé chez les…

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Liens d'intérêt

T. de la Motte Rouge déclare avoir des liens d’intérêts avec Roche, AstraZeneca, Novartis, Pfizer, Eisai, Sanofi, MSD.

F. Derquin et V. Lavoué déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

C. Perrin déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca.