Cas clinique

Grand prix éditorial – 3e lauréat : Fasciculations et hypertrophie neurogène du mollet après lombosciatique : traitement efficace par toxine botulinique ; à propos d'un cas

ContexteLes atteintes radiculaires sont fréquentes et le plus souvent consécutives à une pathologie rachidienne dégénérative discale ou arthrosique. Dans les suites de la lésion radiculaire, une amyotrophie de dénervation peut apparaître ou, à l'inverse et bien plus rarement, une hypertrophie musculaire [1].La racine dont l'atteinte engendre le plus fréquemment une hypertrophie est S1, d'où la description classique au mollet [1]. L'hypertrophie est souvent unilatérale, à l'inverse de celle rencontrée dans d'autres pathologies neuromusculaires : myopathies génétiques ou inflammatoires, polyneuropathies,…

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Liens d'intérêt

M. Schultz, M.E. Isner-Horobeti, B. Geny, J. Lecocq déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec l’article.