Cas clinique

Une mixité sécrétoire à ne pas méconnaître

Monsieur G., âgé de 39 ans, exerce la profession de couvreur. Il se plaint depuis quelques mois d'épisodes paroxystiques d'algie faciale gauche. Initialement espacés de plusieurs jours, ces épisodes, à prédominance nocturne, sont devenus quotidiens. Un traitement à visée antalgique par carbamazépine a initialement rendu supportable ce qui a été considéré comme une causalgie faciale. Ce traitement symptomatique s'est néanmoins rapidement avéré insuffisamment efficace et a amené à poursuivre les investigations étiologiques. L'IRM encéphalique a…

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