L'adénocarcinome du pancréas a une résistance bien connue à la chimiothérapie, en particulier du fait de la présence de mutations qui concernent principalement les gènes KRAS, TP53, SMAD4 et CDKN2A [1]. Les progrès du traitement par chimiothérapie des adénocarcinomes du pancréas (AP) métastatique avec les associations FOLFIRINOX (5-fluorouracil, irinotécan et oxaliplatine) et gemcitabine + nab-paclitaxel permettent de contrôler l'évolution tumorale, parfois de façon durable, chez un nombre croissant de malades [2]. Dès lors, des traitements de maintenance peuvent être utilisés après 4 à 6 mois…
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iciLiens d'intérêt
S. El Kurdi et E. Colle déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
A. Ulusakarya et I. Hadj‑Naceur déclarent avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca.
P. Hammel déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, Celgene, Erythec, Fibrogen, Halozyme, Ipsen, Novartis, Pfizer, Servier et Vect-Horus (consultant ou orateur).