Inhibiteurs de PARP : données précliniques, essais précoces, études de preuve de concept

Dans les années 1990, le clonage des gènes BRCA1 et BRCA2 a représenté une étape clé dans la compréhension des causes génétiques des cancers du sein. Les protéines BRCA1 et 2 sont impliquées dans les mécanismes de recombinaison...

nextMONARCH : l’abémaciclib avec l’hormonothérapie ça marche mieux

Prise en charge des complications hémorragiques liées aux anticoagulants oraux

Les anticoagulants oraux regroupent les antivitamines K (AVK) et les anticoagulants oraux directs (AOD). La prise en charge des complications hémorragiques associées dépend de l'anti­coagulant, de la gravité de l'hémorragie et de...

Prise en charge des complications hémorragiques liées aux anticoagulants oraux - Figure

De nouvelles perspectives dans la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux ?

Les 2 dernières décennies ont offert aux neurologues une évolution constante des stratégies thérapeutiques en pathologie neurovasculaire, tant dans la prise en charge de la phase aiguë des infarctus et des hémorragies cérébrales...

Syndrome de résistance aux estrogènes

Les estrogènes sont des hormones stéroïdiennes qui jouent un rôle important dans de nombreux processus physiologiques chez les mammifères, comme le développement des organes génitaux féminins, la reproduction, la santé cardiovasculaire...

Anticoagulants et hémorragies cérébrales : des relations variables

L'HIC (hémorragie intracérébrale) représente, selon les pays, 10 à 25 % des AVC (accidents vasculaires cérébraux) en Europe [1]. Son incidence reste stable chez les sujets caucasiens depuis plus de 30 ans et est évaluée...

Agents de réversion des traitements anticoagulants et antiplaquettaires : que doit savoir le cardiologue ? - Figure 1

Agents de réversion des traitements anticoagulants et antiplaquettaires : que doit savoir le cardiologue ? - Figure 2

Agents de réversion des traitements anticoagulants et antiplaquettaires : que doit savoir le cardiologue ?

Les traitements antithombotiques, antiplaquettaires et anticoagulants exposent à un risque hémorragique. En cas d'hémorragie grave, la réversion de leurs effets permet de corriger ­l'hémostase. Avec le développement des antidotes...