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Un peu d’espoir alors que la situation est souvent catastrophique

D’après Yeku O. et al., abstr. 5511, actualisé


Le cancer de la vulve en rechute ou métastatique est une situation rare, mais difficile à traiter. En situation métastatique, la survie globale (SG) à 5 ans est inférieure à 20 %. Les traitements restent basés sur l’irradiation et la chimiothérapie (comme l’association cisplatine/gemcitabine de l’étude NRG Oncology/GOG Study 279).

Puisque cette maladie est rare, les essais cliniques sont de faible effectif ; d’où cette étude de phase II mono-bras testant l’association radiothérapie + cisplatine + pembrolizumab (concomitant à l’irradiation, puis en maintenance pour un total de 12 cycles) chez 24 patientes présentant un carcinome épidermoïde de la vulve en progression locale (après chirurgie) ou métastatique. Le critère de jugement principal était le taux de réponse objective (RO).

Cette étude est positive, avec un taux de RO de 75 %, avec 37,5 % de réponse complète et 37,5 % de réponse partielle. La survie sans progression (SSP) à 6 mois était de 70 %. Ces résultats sont encourageants et devraient faire discuter cette option de traitement en RCP.


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