Les évidences expérimentales s’accumulent depuis 15 ans en faveur d’une instauration et d’une propagation dites prion-like des protéinopathies responsables des principales maladies neurodégénératives. Selon ce modèle physiopathologique, des assemblages pathologiques de protéines mal repliées (appelées parfois “graines protéopathiques” ou proteopathic seeds) affectent les protéines physiologiques solubles environnantes en servant de matrice à leur polymérisation. Concernant la protéine tau par exemple, l’inoculation intracérébrale chez le rongeur ou le primate de protéines pathologiques extraites…
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V. Planche déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.