Dans notre clinique de gynécologie du sport, nous voyons, depuis plus de 20 ans, des cyclistes compétitives avec un gonflement mou important d’une grande lèvre vulvaire, très rarement bilatéral. Tous les cas ayant accepté une lymphoscintigraphie en 3 phases avaient des anomalies superficielles et/ou pelviennes lymphatiques nettes homolatérales. D’après 2 enquêtes menées sur des cyclistes compétitives, on peut supposer qu’à peu près 1 cycliste sur 5 en souffre chroniquement. Le traitement est principalement préventif et le symptôme doit être reconnu le plus tôt possible dans son évolution.
Ce n’est qu’en cas de plaintes collatérales qu’une résection de la lésion peut être envisagée en respectant au maximum les trajets lymphatiques vulvaires.
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L. Baeyens a été le premier à décrire l’œdème de la cycliste, mais déclare n’avoir aucun lien d’intérêts en relation avec cet article.
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