Le cancer du col de l’utérus fait l’objet de mesures efficaces de prévention et de dépistage. Cependant, lorsqu’il est diagnostiqué, les traitements sont souvent lourds et peuvent entraîner des séquelles importantes, notamment sur la fertilité, la sexualité, la douleur chronique, ainsi qu’un risque élevé de rechute. Cibler le microenvironnement tumoral via les inhibiteurs de point de contrôle immunitaire, permettant de restaurer la fonction effectrice des lymphocytes T, a permis d’améliorer significativement leur prise en charge. Néanmoins, 30 % des patientes atteintes d’une maladie avancée présenteront une rechute dans les 2 ans malgré un traitement bien conduit. Une meilleure compréhension du microenvironnement tumoral pourrait permettre le développement de nouvelles thérapeutiques.
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Q. Verdet, B. Hanvic, L. Ikhlef et A. Lainé déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
I. Ray-Coquard déclare avoir des liens d’intérêts avec AstraZeneca, BMS, GSK, MSD, DSI, Pharmaand, AbbVie, Corcept, Eisai, Zentalis, Novartis, Scorpion, Gilead et BioNTech.
O. Le Saux déclare avoir des liens d’intérêts avec Lilly, MSD, GSK, AstraZeneca, AbbVie, Eisai, Genmab, Pharmaand, Gilead et BMS.
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