Le rugby professionnel est un acteur majeur et historique des progrès dans la prise en charge des commotions cérébrales. Néanmoins, il reste encore d’importants efforts à faire afin de prévenir et réduire le nombre de commotions non diagnostiquées, ou diagnostiquées de façon retardée, améliorer la prise en charge, sécuriser le retour au jeu et limiter le risque de blessure post-commotion. Pour ce faire, il paraît indispensable de développer de nouveaux outils performants, délocalisables au sein des structures sportives, afin d’être réactif face à une pathologie protéiforme d’expression temporelle très variable, et ciblés sur des performances perceptivocognitives critiques pour la pratique du rugby. La quantité de données récoltées, souvent sous la forme de signaux faibles, l’importance de la prise en compte de l’exposition aux traumatismes crâniens répétés, des facteurs de risques individuels, environnementaux et contextuels sont autant d’arguments qui nécessitent que l’on s’appuie sur une démarche scientifique robuste et soutenue par l’intelligence artificielle.
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