L’augmentation du risque de maladie neurodégénérative en rapport avec l’exposition aux traumatismes crâniens concerne de nombreuses activités physiques et sportives et ne se restreint pas aux sports de combat et de contact ou encore aux militaires. Le rugby professionnel bénéficie d’un écosystème favorable à la mise en place de protocoles multimodaux. Ces derniers permettent de réaliser des bilans sur les joueurs multicommotionnés, de détecter les syndromes d’encéphalopathie traumatique débutants, tout en supportant une recherche opérationnelle prospective susceptible d’améliorer la compréhension des mécanismes physiopathologiques qui ne peuvent être pleinement analysés par des travaux rétrospectifs sur des cas d’encéphalopathie traumatique chronique, qui demeure à ce jour un diagnostic exclusivement post mortem. Par ailleurs, une fois la carrière sportive terminée, se pose la question de la mise en place d’un suivi post-carrière, nécessaire tant pour la santé des individus que pour le prolongement des travaux de recherche commencés alors que le joueur était actif et exposé aux traumatismes crâniens.
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