Dossier
Les toxicités de l’immunothérapie : enjeux en sénologie
- Mis en ligne le
- 24 sept. 2025
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La gestion des toxicités de l’immunothérapie nécessite un bilan plus complet que la chimiothérapie seule ainsi qu’une éducation du patient et un lien avec un réseau de spécialistes dédiés. La plupart des toxicités sont corticosensibles, mais les patients doivent être informés de la non-réversibilité des toxicités endocriniennes.
L’immunothérapie par inhibiteur du point de contrôle (anti-PD(L)1, anti-CTLA4) est largement prescrite depuis maintenant près de 10 ans. En mai 2022, les résultats de l’étude KEYNOTE-522 ont permis de valider son utilisation dans les cas de cancer du sein triple-négatif au stade précoce, associant une chimiothérapie néoadjuvante (carboplatine, paclitaxel puis épirubicine, cyclophosphamide) avec 8 cycles de pembrolizumab, puis 9 cycles de pembrolizumab en adjuvant [1]. L’étude KEYNOTE-355 a également permis l’utilisation du pembrolizumab dans le cancer du sein triple-négatif métastatique en 1re ligne,…
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