Entretien / Interview

Anne Castot : Pour une surveillance pro-active du médicament

Le Courrier des addictions : Les plans de gestion des risques ont déjà deux ans d’existence. Quel bilan en tirez-vous ? Anne Castot : Très positif, même si tout n’est pas encore tout à fait « calé », et s’il faut encore apporter bien des modifications à ce type de dispositif, dont l’essence même est d’être évolutif.

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