Tribune

Pyélonéphrites en 2014 : traitement par voie orale ou injectable ?

Plusieurs études ont montré que le pronostic clinique et rénal d’une infection urinaire fébrile communautaire n’était pas modifié par la voie d’administration de l’antibiothérapie initiale, parentérale ou orale. Le sujet reste néanmoins débattu, en raison notamment de l’émergence et de la progression des entérobactéries productrices de bêtalactamases à spectre étendu. Cependant, sous certaines conditions, il semble qu’un traitement ambulatoire per os d’emblée puisse être envisagé chez le nourrisson de plus de trois mois.

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