Dr Carole HELISSEY
Médecin
Oncologie
Saint-Mandé
France

Contributions
Pourquoi combiner inhibiteurs de points de contrôle immunitaire et inhibiteurs des tyrosine kinases dans la prise en charge des cancers génito-urinaires ?
L'immunothérapie a bouleversé ces dernières années la prise en charge des patients atteints de cancer, avec un net bénéfice clinique [1]. Cependant, différents mécanismes de résistance primaire et secondaire aux inhibiteurs des points...
Publié le : 30 septembre 2020
Paru dans : Correspondances en Onco-Urologie / N° 3 / sept. 2020
Y a-t-il une place pour l’immunothérapie dans la prise en charge des TGNS métastatiques réfractaires ?
Le pronostic des patients présentant une tumeur germinale (TG) métastatique réfractaire reste sombre. Différentes approches thérapeutiques ont été tentées, telles que les antiangiogéniques, les inhibiteurs de mTOR, les associations...
Publié le : 02 octobre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Et si nous parlions de séquence pour les CPRCm
La prise en charge du cancer de la prostate a clairement été transformée depuis 2012 avec l’émergence des nouvelles hormonothérapies, du cabazitaxel, du sipuleucel-T, du radium 223 et de 2 nouvelles hormonothérapies : le darolutamide et...
Publié le : 01 octobre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
L’association doublet de platine + atézolizumab : nouveau standard pour la prise en charge des carcinomes urothéliaux de la vessie en 1re ligne ?
Depuis plus de 30 ans, la 1re ligne du carcinome urothélial métastatique est une chimiothérapie à base de cisplatine (1, 2), avec une médiane de survie globale (SG) de 12 à 14 mois. Plus de 50 % des patients sont inéligibles au...
Publié le : 01 octobre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Olaparib : nouveau standard pour la prise en charge du CPRCm avec mutation des gènes de réparation de l’ADN
Après la présentation en poster discussion (de Bono et al.) de la prévalence des mutations des gènes de réparation de l’ADN (HDR+), M. Hussain a livré en session présidentielle les résultats de l’olaparib versus une nouvelle...
Publié le : 01 octobre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Nouvelle classification IGCCCG pour la prise en charge des tumeurs germinales non séminomateuses métastatiques
La dernière mise à jour de la classification IGCCCG remonte à 1997. Elle était basée sur le site primitif, les sites métastatiques et les taux sériques d’AFP, d’HCG totale et de LDH, chez des patients ayant reçu un traitement entre 1975...
Publié le : 01 octobre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Chez quels patients utiliser la radiothérapie au stade CPHSm ?
Parker et al. (Lancet 2018) ont rapporté une réduction du risque de décès de 32 % avec l’association de la radiothérapie au standard de traitement (SOC : ADT ± docétaxel), avec un HR de 0,68 (IC95 : 0,52-0,90) chez les patients...
Publié le : 30 septembre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Et si nous PARPions dans le monde de la prostate ?
La place des inhibiteurs de PARP s’accroît dans la prise en charge des cancers présentant des anomalies des gènes de réparation de l’ADN. J. De Bono nous a rapporté la prévalence des mutations des gènes impliqués dans les mécanismes de...
Publié le : 30 septembre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Quelle place pour l’immunothérapie dans la prise en charge des mCRPC ?
Le cancer de la prostate a longtemps été considéré comme une tumeur froide et donc non immunogène. Après différentes études négatives, IMPACT (Kantoff, New England Journal of Medicine) a montré pour la 1re fois un bénéfice en survie...
Publié le : 30 septembre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
Docétaxel et cancer de la prostate hormonosensible (CPHS) M0
La place du docétaxel au stade métastatique du CPHS a été confirmée durant ce congrès, et ce, quel que soit le volume tumoral. Mais elle reste à définir chez les patients avec CPHS M0. N. James nous a rapporté les données à long terme...
Publié le : 30 septembre 2019
Paru dans : ESMO 2019 / Ejournal / ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie
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