Dossier

Répercussions gonadiques de la chimiothérapie anticancéreuse

» La néoplasie maligne peut altérer par elle-même la fonction gonadique, soit par retentissement anatomique, soit par le relais de certaines sécrétions tumorales. » L’ampleur du retentissement de la chimiothérapie sur la fonction gonadique dépend de l’âge du patient, des agents chimiothérapiques utilisés, des doses administrées et de l’association éventuelle chimiothérapie/radiothérapie. » Le “blocage” de la sécrétion gonadotrope par analogues de la GnRH ne protège pas contre les effets délétères de la chimiothérapie sur la fonction gonadique. » Les méthodes de cryoconservation de gamètes ou d’organe…

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