Editorial

Nos dix ans


(pdf / 703,52 Ko)

Déjà, oui, et après ?

Il faut, dans certains pays, attendre quelques années avant de baptiser définitivement un enfant. Moins de 10 ans, cependant, les 2 ou 3 premières années de vie étant les plus risquées. Risque de mort prématurée, bien entendu.

Accepter, il y a 10 ans, de lancer une revue francophone consacrée à l'hémato-oncologie paraissait une gageure à beaucoup, qui en prédisaient la disparition rapide.

C'était sans compter l'enthousiasme et l'engagement non seulement de l'équipe d'Edimark, Claudie en tête, bien secondée par Sophia, Charlotte et Laurence, mais également de quelques collègues acceptant immédiatement de constituer le premier comité de rédaction, sans craindre d'associer leur nom à une entreprise incertaine, très incertaine.

Et COH a survécu, d'aucuns diront même qu'elle a prospéré. Augmentation du nombre annuel de numéros, augmentation du nombre des lecteurs, point de départ de multiples initiatives éditoriales…


Déjà, oui, et après ?

Il faut, dans certains pays, attendre quelques années avant de baptiser définitivement un enfant. Moins de 10 ans, cependant, les 2 ou 3 premières années de vie étant les plus risquées. Risque de mort prématurée, bien entendu.

Accepter, il y a 10 ans, de lancer une revue francophone consacrée à l'hémato-oncologie paraissait une gageure à beaucoup, qui en prédisaient la disparition rapide.

C'était sans compter l'enthousiasme et l'engagement non seulement de l'équipe d'Edimark, Claudie en tête, bien secondée par Sophia, Charlotte et Laurence, mais également de quelques collègues acceptant immédiatement de constituer le premier comité de rédaction, sans craindre d'associer leur nom à une entreprise incertaine, très incertaine.

Et COH a survécu, d'aucuns diront même qu'elle a prospéré. Augmentation du nombre annuel de numéros, augmentation du nombre des lecteurs, point de départ de multiples initiatives éditoriales…