Jusqu'à présent, les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (IPCI) n'ont pas montré de bénéfice clair dans les cancers de la prostate résistants à la castration métastatiques (CPRCm), sauf chez les rares patients porteurs d'altérations génomiques au niveau de gènes MMR (mismatch repair), qui sont associées à une charge mutationnelle élevée [1-3]. Les taux de réponses rapportés dans les CPRCm sont inférieurs à 10 % [4]. Des travaux récents ont montré que les tumeurs présentant des mutations de CDK12 pourraient également être sensibles aux IPCI [5, 6]. Elles sont associées à un phénotype…
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