Tribune

Dépakine® : à l'impossible nul n'est tenu …

Et c'est reparti pour les journaux… un “nouveau scandale sanitaire”, l'acide valproïque (VPA) [Dépakine®, mais aussi Dépakote®, Dépamide®] ! Prescrit par nos collègues neurologues dans le traitement de l'épilepsie, le VPA est responsable non seulement de malformations (9 à 15 %) – cardiopathies, spina bifida (2 à 3 % versus 0,05 %), fentes labiales et/ou palatines, hypospadias avec cryptorchidie, malformations rénales, craniosténoses (trigonocéphalie), anomalies réductionnelles de membres, pré-axiales, arachnodactylie – mais surtout de la dysmorphie faciale caractéristique, décrite depuis les…

L’accès à la totalité de l’article est protégé




Liens d'intérêt

T. Harvey déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.