Mise au point

Épidémiologie de l’infection due à HPV chez la femme après conisation

»» Chaque année en France, environ 25 000 néoplasies intraépithéliales de haut grade (CIN2 ou CIN3) sont traitées par conisation. »» La très grande majorité de ces lésions est secondaire à une infection par un HPV à haut risque oncogène (HPVHR), le plus souvent un HPV 16. »» 63 à 80 % des patientes traitées pour une lésion CIN2+ présentent un test HPV-HR négatif 3 à 6 mois après la conisation. La négativation du test HPV est un critère de guérison, mais la patiente reste à risque et devra être dépistée tout au long de sa vie. »» Le risque de lésions résiduelles ou persistantes est augmenté à court…

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