Cas clinique

Aggravation neurologique à l’arrêt du natalizumab

L’arsenal thérapeutique dans le traitement de fond de la sclérose en plaques (SEP) de forme rémittente-récurrente est de plus en plus riche. Le natalizumab reste l’un des traitements de deuxième ligne de référence. Il s’agit d’un anticorps monoclonal humanisé dirigé contre la sous-unité α4β1 de l’intégrine qui bloque la pénétration des lymphocytes dans le système nerveux central. L’étude AFFIRM a montré une réduction de 68 % du taux annualisé de poussées à 1 an, de 42 % du risque de progression du handicap à 2 ans, et de 83 % de l’activité de la maladie en IRM. Le risque de leucoencéphalopathie…

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